[991] Détermination de la demande biochimique en oxygène par mesure fluorimétrique de l’activité respiratoire bactérienne lors d’une incubation de 48h à 30°C, selon la technique Enverdi DBO
Code de la méthode:
991 Nom de la méthode:
Détermination de la demande biochimique en oxygène par mesure fluorimétrique de l’activité respiratoire bactérienne lors d’une incubation de 48h à 30°C, selon la technique Enverdi DBO Statut de la méthode:
Validé Date de création de la méthode:
Mar, 13/10/2015 Date de la dernière mise-à-jour de la méthode:
Jeu, 01/06/2017 - 16:25 Auteur de la demande de création de la méthode:
AMS Envolure Type de la méthode:
Libellé long de la méthode:
Enverdi DBO Méthode normalisée:
Non
Références bibliographiques sur la méthode:
Dudal et al. (2005), brevet EP 1844330 (INRA); Dudal et al. (2006), Analytical and Bioanalytical Chemistry, 384(1), p. 175-179 ; Pautremat et al. (2011), demande de brevet EP 2597461 (AMS Envolure); Muller et al. (2014), Environmental Science and Pollution Research, 21(23), p. 13642-13645 ; Magnin et al. (2015), 17th International Congress of Metrology, EDP Sciences, DOI: 10.1051/metrology/201507009 ;
Muller et al. (2015), demande de brevet WO 2016184848 (AMS Envolure) ; Nehmtow et al. (2016), Environmental Science and Pollution Research, 23(16), p. 16383-16395. Commentaires sur la méthode:
La méthode permet une mesure de demande biochimique en oxygène dans un échantillon d’eau par une mesure fluorimétrique de l’activité respiratoire bactérienne dans des conditions spécifiques (incubation de 48h à 30°C, sans limitation d’oxygène). Elle est basée sur l’utilisation d’un bioréactif sensible à l’activité respiratoire des organismes aérobies. Les échantillons sont incubés en milieu tamponné, en présence d’un inoculum bactérien. Lors de la minéralisation des matières organiques contenues dans un échantillon d’eau par des bactéries aérobies, le bioréactif est réduit au niveau de la chaine respiratoire des cellules en une forme fluorescente. La réaction de réduction est proportionnelle à la réaction de consommation d’oxygène par les bactéries. Ainsi, l'intensité de fluorescence mesurée au cours de l’incubation est proportionnelle à la quantité d’oxygène consommée. Les résultats sont exprimés en milligramme d'oxygène par litre.
Cette méthode n’est pas suffisamment sensible à ce jour pour l’analyse des eaux douces. De même, la méthode peut se révéler inadaptée pour l’analyse de certaines eaux résiduaires industrielles.
Page mise à jour le
16/07/2019
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